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1.
Infectious Diseases Now ; 52(8):S9-S11, 2022.
Artículo en Inglés | Web of Science | ID: covidwho-20234314

RESUMEN

Vaccinating children against Covid raised a debate, due to generally mild clinical presentation. The decision to vaccinate teenagers was motivated by the global public health need: to decrease transmission to other age groups. Among adolescents, the efficacy (better immunity than in young adults) and safety of vaccines was clearly demonstrated. Among 5-to-12-year-olds, due to lower contamination the collective benefit is less clear, and when the m-RNA vaccines were available for this age group, the Omicron variant was predominant and their effect on non-severe infections and transmission had yet to be determined. Individual benefit is based both on somatic criteria and on the child's schooling and mental health. Children under 5 years of age received a 3lg dose of vaccine, which is one tenth of the adult dose, resulting in immunogenicity similar to that of 16-to-25-year-olds.

2.
Infect Dis Now ; 52(8S): S7-S8, 2022 Nov.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: covidwho-20238432

RESUMEN

Heterologous prime boost vaccination is a primary vaccination with different vaccines, most often from different vaccine platforms. It combines the immunological properties of the different vaccines and thereby induces humoral, cellular and, in some cases, mucosal response. For Covid prevention, it has been used in primary vaccination, due to safety issues and in boosters. We have evaluated some articles reporting on the results of this type of vaccine, and demonstrating its usefulness.


Asunto(s)
Vacunas contra la COVID-19 , COVID-19 , Humanos , Vacunas contra la COVID-19/efectos adversos , COVID-19/prevención & control , Inmunización Secundaria/métodos , Vacunación/métodos
3.
Infectious Diseases Now ; 52(8 Suppl):S9-S11, 2022.
Artículo en Inglés | GIM | ID: covidwho-2255399

RESUMEN

Vaccinating children against Covid raised a debate, due to generally mild clinical presentation. The decision to vaccinate teenagers was motivated by the global public health need: to decrease transmission to other age groups. Among adolescents, the efficacy (better immunity than in young adults) and safety of vaccines was clearly demonstrated. Among 5-to-12-year-olds, due to lower contamination the collective benefit is less clear, and when the m-RNA vaccines were available for this age group, the Omicron variant was predominant and their effect on non-severe infections and transmission had yet to be determined. Individual benefit is based both on somatic criteria and on the child's schooling and mental health. Children under 5 years of age received a 3 micro g dose of vaccine, which is one tenth of the adult dose, resulting in immunogenicity similar to that of 16-to-25-year-olds.

4.
Infect Dis Now ; 52(8S): S16-S18, 2022 Nov.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: covidwho-2041793

RESUMEN

As of February 2022, more than 130 million Covid vaccine doses had been distributed in France. During the first year of relevant vaccination, 128,766 adverse events (AE) were reported and analysed, as compared to an average of 40,000 per year for all drugs combined in the pre-pandemic years. A weekly monitoring committee was set up. Through enhanced pharmacovigilance, by February 2022, 49 safety signals had been identified nationwide and submitted to the EMA. For example, very few cases of myocarditis and pericarditis were reported. In children, 9 multisystem inflammatory syndromes were reported.


Asunto(s)
Vacunas contra la COVID-19 , COVID-19 , Farmacovigilancia , Humanos , Sistemas de Registro de Reacción Adversa a Medicamentos , COVID-19/prevención & control , Vacunas contra la COVID-19/efectos adversos
5.
Infect Dis Now ; 52(8S): S9-S11, 2022 Nov.
Artículo en Inglés | MEDLINE | ID: covidwho-2031324

RESUMEN

Vaccinating children against Covid raised a debate, due to generally mild clinical presentation. The decision to vaccinate teenagers was motivated by the global public health need: to decrease transmission to other age groups. Among adolescents, the efficacy (better immunity than in young adults) and safety of vaccines was clearly demonstrated. Among 5-to-12-year-olds, due to lower contamination the collective benefit is less clear, and when the m-RNA vaccines were available for this age group, the Omicron variant was predominant and their effect on non-severe infections and transmission had yet to be determined. Individual benefit is based both on somatic criteria and on the child's schooling and mental health. Children under 5 years of age received a 3 µg dose of vaccine, which is one tenth of the adult dose, resulting in immunogenicity similar to that of 16-to-25-year-olds.


Asunto(s)
COVID-19 , Vacunas , Niño , Adolescente , Adulto Joven , Humanos , Preescolar , Vacunación , SARS-CoV-2 , COVID-19/prevención & control
6.
Médecine et Maladies Infectieuses Formation ; 1(2, Supplement):S126-S127, 2022.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1867582

RESUMEN

Introduction Les mesures sanitaires françaises liées à la gestion de la pandémie de covid 19 dont les confinements en 2020 et 2021 ont pu avoir un impact chez les patients vivants avec le VIH (PVVIH). L'objectif de cette étude était de recueillir le ressenti des PVVIH durant cette période au moyen d'autoquestionaires. Matériels et méthodes Il s'agissait d'une étude prospective, interventionnelle, multicentrique. De janvier 2021 à janvier 2022, les PVVIH suivis dans 3 centres hospitaliers et disposant d'une adresse email dans leur dossier médical NADIS®, ont été invités à compléter tous les mois un questionnaire en ligne (plateforme Limesurvey®) qui comportait des données socio-professionnelles et médicales. Lors de leur consultation de suivi dans le service, les PVVIH participants à l'étude étaient invités également à compléter le questionnaire Hospital Anxiety and Depression scale (HAD) et le questionnaire de qualité de vie PROQOL-HIV (Patient Reported Outcome Quality Of Life, HIV). Résultats Au total, 391 patients ont été inclus dans l'étude avec une prévalence de COVID-19 de 5.9 %, similaire à celle de la population générale. Le taux médian de CD4 était de 717/mm3. La charge virale VIH était contrôlée pour 96 % des patients. Au 11 février 2022, 230 patients (58.5 %) ont complété les questionnaires HAD et PROQOL-HIV. Concernant l'anxiété (A) sur l'échelle HAD, 49/230 (21.3 %) ont un score A entre 8 et 10, donc un trouble anxieux suspecté, et 50 (21.7 %) un score ≥ 11 donc un trouble anxieux avéré. Concernant la dépression (D), 21 (9.1 %) ont un score D entre 8 et 10 donc une suspicion de trouble dépressif et 15 (6.5 %) un score D ≥ 11, donc un trouble dépressif avéré. A partir du PROQOL HIV, nous avons observé que 194 patients (84.7 %) trouvaient que leur santé était bonne/ très bonne. Des troubles du sommeil ont été déclarés par 20 patients (8.7 %) et de la concentration par 18 (7.8 %). Des troubles de la libido ont été rapportés chez 30 patients (13 %). Neuf patient (3.9 %) ont déclaré ressentir une tristesse associée à une angoisse et un sentiment de déprime. Enfin la peur d'attraper une infection était ressentie par 64 patients (27.8 %). Conclusion Durant la période épidémique de l'étude, plus de 80 % des patients ont jugé leur état de santé bon voir très bon. Cependant, un PVVIH sur 5 déclarait des troubles anxieux et un sur 10 des troubles dépressifs! Des troubles du sommeil, de la concentration et de la sexualité ont été également rapportés. Il existe donc très probablement un impact de la crise sanitaire sur le vécu des PVVIH et les dépister au cours du suivi reste important pour pouvoir les accompagner au mieux. Aucun lien d'intérêt

7.
Infectious Diseases Now ; 51(5):S128-S129, 2021.
Artículo en Francés | EMBASE | ID: covidwho-1347645

RESUMEN

Déclaration de liens d’intérêts: Les auteurs déclarent ne pas avoir de liens d’intérêts.

8.
Infectious Diseases Now ; 51(5, Supplement):S66, 2021.
Artículo en Francés | ScienceDirect | ID: covidwho-1336498

RESUMEN

Introduction Un nouveau coronavirus, le SARS-CoV-2 est apparu à Wuhan en Chine fin décembre 2019. Il est responsable d’infections respiratoires, pouvant mener à un syndrome de détresse respiratoire aigu (SDRA) et au décès. Ce virus s’est rapidement répandu dans le monde. En France, les premiers cas ont été diagnostiqués fin janvier 2020. Un confinement national a été mis en place de mars à avril 2020 pour tenter de contenir l’épidémie. L’objectif de notre étude était de déterminer le poids de la COVID-19 chez les personnes vivant avec le VIH (PVVIH) après la première vague de la pandémie. Matériels et méthodes Nous avons réalisé une enquête épidémiologique du 1er avril au 1er août 2020 dans un centre de référence pour la prise en charge des PVVIH. Lors de leur première visite de suivi après la levée du confinement, les PVVIH ont rempli un questionnaire sur les facteurs d’exposition et les symptômes compatibles avec la COVID-19. Une sérologie SRAS-CoV-2 était prélevée lors de la consultation. La prévalence, l’incidence et les facteurs de risque de la COVID-19 chez les PVVIH ont été déterminés. Résultats Six cent PVVIH ont été inclus. Une infection à SARS-CoV-2 était confirmée chez 16 d’entre eux. Les symptômes compatibles avec la COVID-19 étaient fréquents chez les PVVIH en présence ou non d’une infection confirmée à SARS-CoV-2 (67 % vs 32 %, p=0,02). Parmi les PVVIH ayant présenté une infection à SARS-CoV-2 confirmée, une (6 %) a été hospitalisée, 5 (31 %) sont restées asymptomatiques. Il n’y avait pas de différence concernant l’âge, le sexe, les comorbidités associés, et les variables liées à l’infection par le VIH entre les PVVIH ayant ou non contracté la COVID-19. Seul un contact rapproché avec une personne infectée par le SARS-CoV-2 était associé à l’acquisition de la COVID-19 (40 % vs 13 %, p=0,01). La prévalence de la COVID-19 chez les PVVIH était de 2,5 %, la moitié de celle observée dans la population générale après la première vague de la pandémie en France. L’incidence était estimée à 0,16 pour 100 patients/semaine. Conclusion La prévalence de la COVID-19 chez les PVVIH était 2 fois moindre que celle observée dans la population générale. Seul un contact rapproché avec une personne infectée par le SARS-CoV-2 était associé à l’acquisition de la COVID-19. La proportion d’infections à SARS-CoV-2 asymptomatiques était élevée chez les PVVIH.

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